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 (+) JE ME SENS MAL PARCE QUE J'AI RATÉ TOTALLY SPIES CE MATIN.

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Louise "Lou" Stevenson

(+) JE ME SENS MAL PARCE QUE J'AI RATÉ TOTALLY SPIES CE MATIN. Tumblr_ml66f0lM8B1rr7juko1_500
ET SI JE ME TIRE UNE BALLE, C'EST A TOI QUE JE LE DEVRAIT.

+ SITUATION CIVILE : l'amour, c'est de la merde + AGE : dix-neuf ans. + MÉTIER/ETUDES : étudiante en psychologie, j'suis trop une warrior wsh. + DOUBLE-COMPTE : cookie au laiiiiit + AVATAR : silina goumez, la plus guapa de toutes ! + PSEUDO/PRÉNOM : ikrame l'enfant sage askiparait ! bref, mon blaze c'est ikrame, et mon pseudo c'est love is louder. + RUPTURES : 45 + ARRIVÉE EN VILLE : 23/04/2013

(+) JE ME SENS MAL PARCE QUE J'AI RATÉ TOTALLY SPIES CE MATIN. Empty
MessageSujet: (+) JE ME SENS MAL PARCE QUE J'AI RATÉ TOTALLY SPIES CE MATIN.   (+) JE ME SENS MAL PARCE QUE J'AI RATÉ TOTALLY SPIES CE MATIN. EmptyVen 26 Avr - 9:40


she's on fire
AND I WANT YOU TO KNOW THAT I AM BOTH HAPPY AND SAD AND I'M STILL TRYING TO FIGURE OUT HOW THAT COULD BE

dix-neuf ans ✤ célibatairement indisponible ✤ le jour où je t'ai détesté ✤ étudiante en psychologie ✤
I KNEW YOU WERE TROUBLE + J'ai jamais su qui j'étais en faite. Genre de qui je descendais, mes ancêtres, mes origines, mon histoire tout simplement. J'ai jamais été heureuse, ni malheureuse. Et j'ai jamais compris comment je faisais. Pourtant, j'avais tout eu pour vie remplie de bonheur ! Le tout pour composer ce mot : Parents présents durant mon enfance, et mon adolescence, richesse, amis. Oui, parce que contrairement aux autres histoires où la mère est une célèbre mannequin, et où le père est l'avocat le plus grand des Etats-Unis, mes parents pratiquaient des métiers des plus banales. Mon père était le pasteur de l'église de Charleston, et ma mère elle, était une femme au foyer, très présente. Elle s'occupait dignement de moi et mes deux soeurs, ce fut le même cas pour mon père, qui lui nous racontait chaque soir l'histoire de la Bible. En faite, on était tout à fait normaux, on assistait à la messe du dimanche, il nous arrivait parfois de dîner dans des restaurants, on était les Van de Kamp en personne. Tout à fait normal. Mes relations avec mes soeurs étaient vachement enviable : On se racontait tout, il n'y avait pratiquement pas de dispute entre nous. J'étais un peu la "rebelle" du groupe, je n'en faisais qu'à ma tête, et je me foutais totalement de ce que pouvait penser les gens, ou bien des conséquences de mes actes. Ma naissance. Elle se déclara le douze juillet, ici-même, à Charleston, petite ville ensoleillé de Caroline du Sud. Elle se déroula normalement, sans complexe, et sans aucun problèmes. Ainsi commença ma longue et triste vie. Je grandissais, je marchais, je balbutiais quelques mots, puis j'avais appris à aller aux toilettes toute seule comme une "grande". Alors, on me jugea assez mature pour commencer l'école maternelle, le début du commencement, à vrai dire. C'est là où j'avais rencontré ces gens. Ces gens, c'était comme si on avait était lié pour un bout de temps. Comme si t'avais loué un film chez Joey, et que tu devais le rendre dans genre dix ans. Le destin, quoi, même si je n'y croyais pas trop. A cette époque-là, je ne savais pas que les amis que j'ai et que je connais deviendraient des personnes que j'avais dans le coeur et que je connaissais. Bref, après l'école maternelle, l'école primaire. Tu sais le lieu totalement merdique où tu dois te rendre tout les jours sauf le week-end et le Mercredi. L'endroit où t'apprends que un plus un font deux, et la signification des lettres qui t'étaient à ce jour, totalement inconnus. J'avais une vie à chier et normal. Genre pas de rebondissements, ni de déménagements. On aurait dit que j'étais destinée à vivre ici. Des fois, à la rentrée des classes, on nous demander de présenter. Tu sais les questions chiantes qu'on te pose : T'as quel âge ? Combien de frères et soeurs tu as ? Le métier de tes parents ? Ton prénom ? Patatiti et patata... Je répondais jamais à ces questions-là, parce que au fond de moi-même, je ne me connaissais pas entièrement. J'ai toujours été le genre de fille qui faisais rire tout le monde sans savoir pourquoi. Tu sais, la fille secrète, mais que tout le monde connait. Que tout le monde garde à l'oeil, pour voir si c'est bien la fille modèle du pasteur, alors que j'étais tout le contraire. Je ne participais à des œuvres de charité, je ne priais pas le soir, sauf aux repas. J'étais tout le contraire de ce que les gens attendaient. J'avais l'impression d'avoir naquit à l'envers. Les gens que je devais aimer, je les détestais. Ce que je disais, c'était à l'envers. J'étais tout simplement à l'envers.

LOVING HIM WAS RED + Noah. Que dire ? J'étais vraiment obligé de parler de lui, parce qu'il a quelque peu marqué le grand chapitre de ma vie. Noah, c'était le mec cool qui se droguait, qui buvait comme un cul, qui se tapait tout ce qui bouge sans éprouver de sentiment. Je l'avais toujours connu comme ça. Ce que j'aimais surtout chez lui, c'était sa liberté. Le fait qu'il se foute totalement de ce qui pouvait se passer autour de lui. Avec lui, j'avais tout partagé : premier baiser, premier joint, première cigarette, première fois... Quelques fois, on se tenait la main dans la rue, on s'embrassait aussi. Il nous arrivait de fumer ensemble, de coucher ensemble, même plusieurs fois. On faisait pratiquement tout ensemble. En faite, c'était le seul mec qui arrivait à me faire sentir bien. Plusieurs personnes nous croyaient amoureux, ou bien ensemble, mais on ne l'était pas. Du moins, je ne voulais pas que l'on tombe amoureux l'un de l'autre. Parce que l'amour, ça servait à rien. Je crois que j'avais surtout peur de souffrir de ce gros trou du cul. Il montrait jamais ses sentiments, rien. C'est de ça que j'avais peur. Peur de m'attacher à lui, alors qu'il me considérait que comme sa pote. Peur de prendre littéralement la baffe de ma vie. En faite, Noah, il était comme moi. Personne ne le connaissais vraiment. Il avait cette petite touche mystérieuse et rebelle qui rendait folle toutes les filles. On aimait bien se donner des défis totalement débiles et immatures, genre s'arrêter au milieu de la rue et attendre des voitures qui passent, rentrer dans le vestiaire des mecs... On adorait ce jeu. Et puis tout a dérapé à cause de ça. On s'était disputé à cause d'un pari à la con, dans lequel je devais coucher avec le trou du cul de notre classe. Quand je vous dis immature... Je l'ai fait. Puis je lui ai dit. Il m'a gueulé dessus. Je lui ai gueulé dessus. Il m'a embrassé pour me faire taire. Et puis ça a dérapé. On avait couché ensemble, et il m'avait avoué qu'il m'aimait. J'étais sur le cul. Je voulais pas de ça. J'avais vraiment tout fait pour éviter ces conneries. Je me suis rendu compte que je l'aimais aussi, mais fallait surtout pas que je lui dise, parce que j'avais peur... Je me suis vite enfuie, sans lui donner de nouvelles, jusqu'au jour où j'avais découvert que j'étais enceinte de lui. Je m'étais rendu chez lui, je lui avais annoncé que j'étais engrossé, et puis rien. J'étais en larmes, ma gorge me brûlait, Lui, il réagissait pas. J'avais quitté sa maison pour me rendre dans la mienne, et aussi pour l'annoncer à mes parents. Ils ont vraiment mal réagit, surtout mon père. On m'avait forcé à avorter, et bien-sûr je l'avais fait. Depuis, Noah avait quitté Charleston avec sa famille, et je me retrouvais toute seule, tout simplement détruite.

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